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À propos du vrai et du faux

Le passé, une fois passé ne peut plus être juste !

C'est la base de la compréhension de l’impermanence des choses, des émotions, des réalités et des vérités.

Vouloir faire de la vérité une chose figée, fixe et définitive révèle un désir de contrôle compulsif et égocentrique qui a pour but de construire un monde autour de moi qui pourrait être en cohérence avec mes perceptions et mes besoins actuels.


Mais l’humain, comme l’enfant que nous restons explore continuellement ce qui l’entoure, ce qui modifie sa perception et sa réalité d’une manière cyclique, renouvelé à chacun de ces cycles du vivant ; chaque seconde, chaque minute, chaque heure, chaque jour, chaque saison, chaque année, etc. Un mouvement naturel de transformation qui n’est ni vieillir, ni mourir mais « maturer » et grandir en conscience. Qu’une fois ce cycle de vie terminé, il ait fait son « job » de faire grandir les cycles encore en vie, qu’il contribue à faire tourner la grande roue de la nature et de notre nature humaine.


Le temps de la peur de la mort agonise.
Une agonie souffrante qui hurle à l’injustice et qui s’accroche à n’importe quoi pour essayer de se sentir « vivant ».
Adrénaline, sérotonine et sueurs froides pour tenter d’oublier la fin… d’un monde.
Celui de la peur.
Celui des vérités.
Celui des dogmes figés.
Celui de la doctrine « hypnotique ».
Celui d’une puissance égocentrée qui s’est détournée de sa nature, sa nature vivante.

Un cerveau qui se prend pour "Dieu" et persuadé de sa vérité universelle, un mental bas qui cherche à s'imposer, exclusif ; soit en propagande, soit en insultes, soit en revendications.


Une doctrine de l’inclusion qui ne fait qu’exclure le « politiquement incorrect ».

Un humain « humanoïdé » qui préfère se référer à un robot bourré d’infos au lieu de se fier à son ressenti et à son intuition, tant sa confiance en lui et sa valeur personnelle est petite. Absente ?


Un humain qui passe par là, un humain qui fait l’expérience millénaire de son « impuissance », qui invente la civilisation, l’écriture et la religion afin de se rassurer, terré comme un enfant sauvage dans ses peurs face à une nature dont il se croit prisonnier.

Un humain en quête de sa « puissance » afin de s’affranchir de Dame Nature dont il était totalement dépendant… bref, une histoire, un cycle, 8000 ans d’histoire figée dans des vérités réconfortantes, comme des défis à la mort, comme s’il fallait « arrêter » la roue…


Aujourd’hui, la roue tourne et l’androïde est né, voilà qui est fait ! Le voilà cet humain qui échappe à la mort, programmé à répéter comme un perroquet un programme installé..

Tant mieux, pourquoi pas… il nous évitera peut-être de passer 10 – 15 ans sur les bancs de ces écoles qui continuent à faire la propagande du passé.


Des écoles figées dans des vérités réconfortante à la recherche d’un bonheur enfermant, d’une vie sans embrouille, bien sage et enfermée dans les boites identitaire, dogmatiques qui lui sont proposées, voire imposées.


Des écoles qui ne servent plus à faire « grandir » mais qui désirent continuer à faire tourner la grande roue du bonheur, à faire miroiter le Jack Pot en faisant tourner la roue de la fortune et de nous faire rester bien assis dans nos certitudes, tant qu’il y a de l’argent et du bonheur… promis !


Le passé, une fois passé ne peut plus être juste, c’est la base de la compréhension de l’impermanence des choses, des émotions, des réalités et des vérités.


Il va falloir commencer à se poser sur nos certitudes et les revoir unes à unes afin de laisser émerger un espace d’expression non identitaire, un rapport au monde plus mature, moins craintif, plus sûr de lui, plus ambitieux dans son rapport au vivant, plus affirmé dans la quête de ses propres pouvoirs, plus en paix avec lui-même…


Petit à petit avancer sur la métamorphose de nos craintes camouflées sous nos désirs de confort et de sécurité, pour se diriger vers un humain réconcilié avec sa propre dualité, qui ne signifie d’ailleurs pas « combat », mais DEUX.


Voilà pourquoi je fais ce métier, c’est au cœur du DEUX que se trouve l’espace de la transformation en cours…


Mais commençons pas le commencement


À bientôt,

Anne Yvonne


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